« Il faut arrêter de définir la pauvreté de façon désincarnée »

Caroline Reynaud et Sophie Guerry

« Deux projets sur la pauvreté montrent l’intérêt de l’approche participative pour la combattre. Ils aspirent à modifier la culture institutionnelle en intégrant la perspective des individus directement concernés.

(…) « L’idée était de voir quels rapports se créent entre les institutions et les personnes touchées par la pauvreté, et comment faire pour empêcher que des abus systématiques et institutionnalisés ne se reproduisent », expliquent Caroline Reynaud et Sophie Guerry, chercheures à la Haute école de travail social Fribourg – HETS-FR – HES-SO. »

L’article est disponible dans la revue Hémisphères au N°26 Travail Social « Il faut arrêter de définir la pauvreté de façon désincarnée » | Revue Hémisphères (revuehemispheres.ch)